estelle Boullier

UN MONDE RECOMPOSE : sensation de paysage

Traduire les vibrations du monde est au cœur de ma démarche, en réalisant des collages de papiers dessinés, le dessin essentiel pour traduire ce monde en mouvement.

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Actualités

Biennale Saint-Laurent de dessin septembre 2023 Grenoble

 

Biennale Saint-Laurent de dessin septembre 2023 Grenoble
Exposition collective au Musée du Dauphinois et exposition personnelle chez un particulier.

Sortie de la collection ARTIC à partir de deux de mes compositions, une collection tout en mouvement réalisée par artist-le-studiobf.com

Sortie de la collection ARTIC à partir de deux de mes compositions, une collection tout en mouvement réalisée par artist-le-studiobf.com

Portfolio

Maisons et herbes hautes Installation modulable 2023

Maisons et herbes hautes Installation modulable 2023

Un monde silencieux 2023 Une série de compositions réalisées à partir de papiers peints, déchirés et ou découpés, dessinés, puis collés. Œuvres pour la plupart en paysage : mise en scène de ce paysage horizontal qui avance. Au commencement, il y a des papiers, des papiers blancs et des paysages… Je vais toujours puiser dans mes observations, mes sensations, mes émotions ressenties face au monde qui m’entoure, face à la nature. Il s’agit d’un voyage intérieur, d’une rêverie entre ciel et terre. Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, de donner la sensation d’un paysage, la sensation d’un lent mouvement, parfois imperceptible d’un monde que nous donne à voir le ciel. Il suffit de lever les yeux, de contempler ces paysages éphémères. Il suffit de se laisser porter. C’est un monde fascinant et apaisant, comme un répit pour s’extraire de l’agitation bruyante du monde. Je vais peindre de nombreux papiers, que je déchire ou que je découpe. Ensuite, je dessine, pour donner vie à ces formes déchirées et/ou découpées de manière intuitive. Je trace de manière répétée des lignes ondulantes, ligneuses. Ces papiers prennent vie, deviennent cailloux, nuages pour créer un monde silencieux, qui avance, rempli d’îles voyageuses, un monde suspendu, calme, paisible. J’associe, je superpose, je compose, je recompose puis je colle.

Un monde silencieux 2023 Une série de compositions réalisées à partir de papiers peints, déchirés et ou découpés, dessinés, puis collés. Œuvres pour la plupart en paysage : mise en scène de ce paysage horizontal qui avance. Au commencement, il y a des papiers, des papiers blancs et des paysages… Je vais toujours puiser dans mes observations, mes sensations, mes émotions ressenties face au monde qui m’entoure, face à la nature. Il s’agit d’un voyage intérieur, d’une rêverie entre ciel et terre. Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, de donner la sensation d’un paysage, la sensation d’un lent mouvement, parfois imperceptible d’un monde que nous donne à voir le ciel. Il suffit de lever les yeux, de contempler ces paysages éphémères. Il suffit de se laisser porter. C’est un monde fascinant et apaisant, comme un répit pour s’extraire de l’agitation bruyante du monde. Je vais peindre de nombreux papiers, que je déchire ou que je découpe. Ensuite, je dessine, pour donner vie à ces formes déchirées et/ou découpées de manière intuitive. Je trace de manière répétée des lignes ondulantes, ligneuses. Ces papiers prennent vie, deviennent cailloux, nuages pour créer un monde silencieux, qui avance, rempli d’îles voyageuses, un monde suspendu, calme, paisible. J’associe, je superpose, je compose, je recompose puis je colle.

Un monde recomposé – Sensations de paysage 2022 2023 Compositions : dessin sur papiers peints, déchirés, découpés - Acrylique, crayons Posca, crayons de couleur. Construire, puis déconstruire… pour reconstruire. Ce travail de recomposition est au centre de ma démarche pour aboutir à la naissance d’une cartographie personnelle, un monde recomposé en mouvement. C’est un travail intuitif nourrit de mes promenades en forêt, en bord de mer, dans les champs…et de mon histoire personnelle. Je peins de nombreux papiers qu’ensuite je déchire ou que je découpe. Ensuite, j’assemble ces formes. Je dessine pour traduire ces vibrations, traduire ce mouvement, cette énergie, la contenir, puis la libérer. J’utilise les papiers découpés pour amener des ruptures dans le dessin qui s’interrompt. Je crée des mondes flottants. Ces formes bougent, formes que je fais bouger, avant d’être collées. La nature est mouvement, la vie est mouvement : le vent qui fait bouger les feuilles, l’eau qui coule, le va et vient des vagues, les herbes sauvages sur la dune, le vol d’un oiseau… Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, donner la sensation de paysage, dessiner ce qu’il me reste des émotions qui me traversent, frémissement léger ou flot qui nous emporte, traits qui ondulent, enchevêtrement de petites formes collées, qui La nature est mouvement, la vie est mouvement : le vent qui fait bouger les feuilles, l’eau qui coule, le va et vient des vagues, les herbes sauvages sur la dune, le vol d’un oiseau… Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, donner la sensation de paysage, dessiner ce qu’il me reste des émotions qui me traversent, frémissement léger ou flot qui nous emporte, traits qui ondulent, enchevêtrement de petites formes collées, qui s’envolent.

Un monde recomposé – Sensations de paysage 2022 2023 Compositions : dessin sur papiers peints, déchirés, découpés - Acrylique, crayons Posca, crayons de couleur. Construire, puis déconstruire… pour reconstruire. Ce travail de recomposition est au centre de ma démarche pour aboutir à la naissance d’une cartographie personnelle, un monde recomposé en mouvement. C’est un travail intuitif nourrit de mes promenades en forêt, en bord de mer, dans les champs…et de mon histoire personnelle. Je peins de nombreux papiers qu’ensuite je déchire ou que je découpe. Ensuite, j’assemble ces formes. Je dessine pour traduire ces vibrations, traduire ce mouvement, cette énergie, la contenir, puis la libérer. J’utilise les papiers découpés pour amener des ruptures dans le dessin qui s’interrompt. Je crée des mondes flottants. Ces formes bougent, formes que je fais bouger, avant d’être collées. La nature est mouvement, la vie est mouvement : le vent qui fait bouger les feuilles, l’eau qui coule, le va et vient des vagues, les herbes sauvages sur la dune, le vol d’un oiseau… Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, donner la sensation de paysage, dessiner ce qu’il me reste des émotions qui me traversent, frémissement léger ou flot qui nous emporte, traits qui ondulent, enchevêtrement de petites formes collées, qui La nature est mouvement, la vie est mouvement : le vent qui fait bouger les feuilles, l’eau qui coule, le va et vient des vagues, les herbes sauvages sur la dune, le vol d’un oiseau… Il ne s’agit pas de reproduire à l’identique ce que je vois, mais de capter l’invisible, donner la sensation de paysage, dessiner ce qu’il me reste des émotions qui me traversent, frémissement léger ou flot qui nous emporte, traits qui ondulent, enchevêtrement de petites formes collées, qui s’envolent.